Le SDPM distribue les mauvais points
Publié le 20 Mars 2012
Jean-Pierre GRAND, député de l'Héraut et Maire de CASTELNAU-LE-LEZ (34)
Au delà d'un mauvais point, c'est un véritable carton rouge que le SDPM délivre à Jean-Pierre GRAND. Le SDPM a été reçu à l'assemblée nationale par le Député, le 14 mars dernier.
Le SDPM a falli tomber de sa chaise, quand M. GRAND, dès le début de l'entretien, a tenu des propos que le SDPM estime forts discourtois à l'égard de notre profession "qui serait la seule revendicative de la fonction publique territoriale" et des syndicats la représentant.
Le Député-Maire s'est alors plaint que les maires en avaient assez des recours formés par les syndicats, ce qu'il trouvait inadmissible. Il évoquait alors le cas de sa propre commune, où la nomination d'un directeur de police municipale pouvant être déclarée illégale, avait été contestée par un syndicat professionnel.
Après lui avoir indiqué que n'étions pas au courant de la démarche de ce syndicat, mais que nous soutenions celle-ci et menions le même combat, notamment contre les nominations illégales, nous avons décidé de quitter l'entretien qui n'a finalement duré que quelques minutes.
Jean-Pierre GRAND est député, et président du parti "République Solidaire" fondé par Dominique de VILLEPIN.
Mauvais point délivré à Eric RAOULT
Le SDPM devait être reçu à l'assemblée nationale par Eric RAOULT, le 8 mars dernier.
Pour cela, les administrateurs du SDPM avaient pris leur disposition : avion réservé, journée d'absence déposée, hôtel réservé etc...
Seulement, alors même que le Président du SDPM se trouvait sur la route de l'aéroport, le cabinet de M. RAOULT informe que le rendez-vous était annulé. Le SDPM insiste et explique toutes les dispositions qu'il a dû prendre pour honorer le rendez-vous.
Après divers échanges téléphoniques, mais surtout après que le SDPM ait indiqué au cabinet de M. RAOULT que cette affaire pourrait être relayée sur le blog et la revue du SDPM, il est proposé au syndicat le maintient du rendez-vous !
...Sauf que le SDPM avait déjà annulé avion, hôtel...
Le SDPM estime que la police muncipale et ses représentants doivent être considérés à leur juste valeur. Ils ne doivent pas être des pions, que l'on reçoit, puis qu'on ne reçoit plus, puis finalement qu'on reçoit...
Le SDPM en prend acte et les policiers municipaux en jugeront.