TOULOUSE : il y a un an...actes héroïques
Publié le 19 Janvier 2011
TOULOUSE - ACTE HEROIQUE : Tentative de suicide, les policiers se jettent dans l'eau glacée
Dans la nuit du 1er au 2 janvier 2010, une femme, d'âge encore inconnu, s'est jetée du haut du pont neuf, semble-t-il pour se suicider. Elle a attérie dans la Garonne mais a pu, gagner un pilier du pont et s'y accrocher. Deux policiers de la brigade anti-criminalité de la police nationale (BAC) arrivés sur les lieux se sont jetés à l'eau voulant secourir cette personne, qui transie de froid, commence à faiblir et à lâcher prise. Alors que l'un des deux policiers arrivent à approcher la victime, son collègue également transi de froid se retrouve en difficulté et ne parvient plus à nager.
C'est alors que deux policiers municipaux de TOULOUSE, sautent à l'eau pour porter assistance à tout le monde. Un des deux policiers municipaux parvient à rejoindre son collègue de la police nationale, qui n'arrive plus à nager, se débattant de panique, pour ne pas sombrer. Le policier municipal, dans l'eau glacée, prend en compte son collègue national et parvint non sans mal à le ramener à la base du pilier, du coup, lui sauvant la vie d'une mort certaine.
Le second policier municipal, rejoint l'autre policier de la BAC et à eux deux ramènent la victime suicidaire, à la base du pont, elle aussi prise de panique.
Ce sont finalement les pompiers, en zodiaque, qui repècheront les policiers et la victime, tous sains et saufs.
Il faut noter que la presse et les médias peuvent parfois être prompts à fustiger les policiers municipaux, comme les policiers d'intervention de la "BAC".
A la rédac' LBU, nous n'oublions pas que s'il est facile de jeter l'opobre sur des "empêcheurs de tourner en rond" il faut reconnaître également que ces policiers sont aussi au service du public, qu'il sont nécessaires et même indispensables. Derrière des agents verbalisateurs, se cachent souvent des humains aujourd'hui sélectionnés de manière drastique, empreint d'un courage qui n'appartient souvent pas à ceux qui se complaisent à les discréditer continuellement.
source : LA REDAC' LBU